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Peut-être que tout le monde ne le sait pas...

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Ressort:àapparaît autour de 15ème siècledans les montres, en remplacement du système de poids qui leur permettait normalement de fonctionner ;

avec le mécanisme de remontage à ressort, les horlogers ont pu accomplir
instruments de précision capables de garder le temps.

 

Dans le Code de Madrid de Léonard de Vinci, datant de la fin du XVe siècle, l'utilisation d'une source est prévue comme element élastique.
 

Dans le Codex de Madrid, Léonard conçoit et étudie de nombreux mécanismes pour obtenir différents types de mouvement, souvent sans but précis et uniquement pour explorer les possibilités de la science mécanique.

Ce sont des études de machines simples, d'évolutions ou de différentes manières d'obtenir le développement et la transmission du mouvement.
 

Certains de ces mécanismes sont alimentés par un moteur à ressort avec un engrenage hélicoïdal.

Sur la quatrième page du manuscrit, nous rencontrons le premier système avec un moteur qui utilise l'utilisation de ressorts :

le moteur à ressort à transmission hélicoïdale.

Ce mécanisme suppose qu'un ressort chargé produit sa force maximale au début et, à mesure qu'il se décharge, devient de plus en plus faible.

Cette force est définie par la valeur of raideur R, exprimé en force / espace. Le but final est donc de rendre ce transfert d'énergie linéaire et constant.
 

Le type particulier de ressort, conçu par Leonardo pour cette application, est encore largement utilisé aujourd'hui (par exemple dans les volets, les poignées et les perceuses à colonne) et est encore appelé "ressort en spirale d'Archimède", car il est basé sur le concept archimedeo.

Pour en revenir au thème, cet objet, 400 ans après son invention, est devenu l'énergie cinétique des phonographes et des gramophones.

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Boîte à musique :  L'histoire officielle du carillon commence en 1796, lorsque l'horloger suisse Antoine Favre met au point le concept d'appareils musicaux de dimensions réduites.

 

Pour commencer, des roues dentées ont été utilisées pour frapper les lames métalliques spécialement réglées; plus tard, ces roues ont été remplacées par des cylindres dentés plus pratiques et plus stables.


A cette époque la fabrication des boîtes à musique était artisanale.

Les pièces, en fait, ont été réalisées manuellement par des artisans à domicile. Ces derniers étaient souvent des agriculteurs qui en profitaient pour gagner un peu avec un 2e travail.

Les mécanismes musicaux étaient ensuite assemblés et insérés dans les coffrets (boîtes à musique) par d'autres personnes employées par les fabricants eux-mêmes. L'amélioration la plus importante fut plus tard l'invention d'amortisseurs dont la fonction était de limiter les vibrations des pales. Ces amortisseurs ont été initialement construits à partir de plumes de poulet.


Vers 1875, Charles Paillard, les frères Nicole et de nombreux autres fabricants suisses se lancent dans la production industrielle de boîtes à musique. Les méthodes changent et les miracles de l'industrialisation permettent d'inventer des machines capables de reproduire des cylindres en grande quantité et à moindre coût et de concurrencer la production française.

 

D'autres innovations visaient à accentuer le rythme des mélodies et à enrichir les boîtes à musique, du point de vue des performances sonores.


Les boîtes à musique les plus convoitées sont désormais composées (comme les phonographes et les gramophones) de bois et de métal et de rouleaux capables de contenir plus de "sculptures musicales" (hauts-reliefs), c'est-à-dire plus de mélodies (voire 8 par exemple) à l'aide de la caisse de résonance de la boîte elle-même et une sélection relative et un mécanisme de démarrage / arrêt.

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Phonoautographe :inventé par le français Édouard-Léon Scott de Martinville, a été breveté le 25 mars 1857. Le phonautographe a été le premier instrument capable "d'écrire"

il son, c'est-à-dire lui donner une représentation graphique différente.


Auparavant, des traces des mouvements vibratoires produits par  avaient été obtenuesdiapason  et d'autres objets, mais pas les ondes sonores qui se propagent dans l'air ou d'autres médias.


Il n'était cependant capable que de tracer des ondes sonores telles que des ondulations ou d'autres déviations dans une ligne tracée sur du papier ou du verre noirci by noir carbone.


A comprendre exclusivement comme un outil de laboratoire pour l'étude deacoustique, peut avoir été utilisé pour étudier visuellement et mesurer l'amplitude et la forme d'onde sonore de mots et d'autres sons ou pour déterminer la fréquence d'un data intonation musicale pour comparaison avec une fréquence de référence enregistrée simultanément.

Les "enregistrements", appelés phonoautogrammes, pour ce qui précède, ne pouvaient pas contenir d'informations de nature à permettre leur re-transformation dans la source principale (input). L'intrigue étant un phonautogramme constitué d'une ligne bidimensionnelle, la reproduction physique directe du son était de toute façon impossible.


Pour ce qui précède, cette invention éclairante n'a pas engendré d'écriture réversible : aucun dessin, en effet, n'aurait pu redevenir « vibration puis son ».

 

Pour cette raison, nous avons dû attendre quelques années de plus pour l'arrivée du phonographe d'Edison.

Phonographe :  Edison a annoncé l'invention du phonographe le 21 novembre del 1877 e le 6 décembre de la même année il fait une démonstration pratique à ses collaborateurs.

Ils étaient confrontés à un objet constitué d'un rouleau en laiton (cylindre de phonographe) dont la surface était recouverte d'une feuille de papier d'aluminium.


Pendant l'enregistrement, le cylindre tournait et la feuille était touchée par le stylet relié à la membrane vibrante. Le stylet, suivant les oscillations de la membrane, gravait une trace profonde dans la feuille qui, tendue sur le sillon, pouvait céder sous la pression.

 

Pour la reproduction, le processus aurait été inversé, à la seule différence que dans ce cas une seconde membrane, beaucoup plus élastique, a été utilisée, placée à l'autre extrémité de l'appareil. La rainure dans le déjouer  avec ses variations de profondeur, faisait vibrer la membrane, renvoyant le son enregistré. L'opération était donc alternativement de flûte à bec ou de reproducteur.

Edison se mit alors à tourner la manivelle qui mit le système en marche et parlant dans la direction du diaphragme il fredonna

"Marie avait un petit agneau". Une fois le barillet ramené à son point de départ, il plaça l'aiguille sur la seconde membrane dans la rainure imprimée dans la feuille par la première, recommença à tourner la manivelle et le phonographe répéta un son vaguement semblable à la phrase prononcée juste avant. La qualité était mauvaise, mais les fondations d'un changement d'époque étaient désormais posées.

19 février 1878 Edison a obtenu le brevet de sa propre invention et avec quelques financiers, il a créé la "Edison Speaking Phonograph Company", pour l'installer dans les foires de campagne et dans le fête foraine, où le public aurait pu le faire fonctionner en utilisant des jetons. Ce choix a été fait à la lumière de la nécessité d'améliorer encore la qualité de l'enregistrement avant qu'il ne devienne vraiment utile pour les bureaux pour lesquels Edison l'avait conçu.

De cette façon, on pourrait commencer à exploiter la curiosité créée par la nouveauté et commencer à répandre une certaine connaissance des possibilités de la nouvelle invention.

Edison voyait un avenir pour le phonographe, non pas tant pour enregistrer de la musique, mais surtout pour dicter des lettres dans les bureaux, créer des livres pour les aveugles et enseigner la diction. En effet, sans le savoir, il avait émis l'hypothèse du first messagerie vocale, ci-dessous une de ses réflexions : « Un abonné au téléphone peut installer un Phonographe sur un appareil qui, à chaque appel, signalera au central qu'il est parti, et qu'il sera de retour à une certaine heure. De la même manière, un abonné, en appelant un autre et ne le trouvant pas chez lui, il pourra faire sa communication et l'enregistrer sur le phonographe de la personne appelée".

Cette orientation purement "professionnelle" du Phonographe se justifiait par le fait qu'Edison comptait sur l'existence de milliers de bureaux auxquels son invention permettrait d'augmenter les profits en réduisant le temps nécessaire pour réaliser certaines opérations. L'enregistrement musical, en revanche, aurait été un marché totalement nouveau et Edison, qui quelques années plus tôt avait été "brûlé" par l'échec de son système de vote électronique innovant, n'était plus disposé à prendre des risques en misant des ressources sur un monde inconnu.

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